Poemes

Par Tyno

Buffy Fans
Sur l'air de "fan" de Pascal Obispo.

Tu es là quand je suis seul
Tu ne quittes pas mon seuil
Tu occupes mes pensées
Tu pourras toujours me donner
Une belle vie sans soucis
Sans ennui
Je suis fan
Fan de toi
Je ne te quitterai pas...
Non... Ne pars pas
Car...

Je suis là
Nous sommes là
Pour toi
Nous sommes fans
Fan toujours
Tant d'amour
A t'offrir
A en mourir
Nous sommes Fans
Fans pour tout
Jusqu'au bout
Nous serons fans...

Nous entendons cimetière
Nous pensons tout de suite à la poussière
Qui se perd...
Tous ces démons et d'autres encore
Que tu tues sans le moindre effort
C'est un peu gore...
On pense à Sunnydale
Vampires, démons se bousculent dans nos têtes
Mais toute cette vie parait si belle
Alors il ne faut pas que t'arrêtes...
Ta mission
Nos coeurs battrons
A l'unisson
A l'unisson
On fera... un hommage
Pour ton courage
Ton courage
Car on est fans
Fan de toi
On est là...
Toujours pour toi...

Que ferions-nous sans toi...
Nous ne pourrions pas...
Alors reste là...
Ne pars pas...

Un regard
Un sourire
De ta part
Pour tous les fans
Qui croient en toi
Le monde est fan
Mais on doit
Te dire Adieu
Je t'aime
On t'aime
Et on est fans
Fans de toi
Pour toujours
Avec l'amour
Nous tous
On restera fans

Nous on t'aime...
Avec tant d'amour...
On t'aime pour toujours...

Nous te disons...
Nous te disons...
Jusqu'au bout...

Nous sommes fans

Par Lise
Je suis Buffy
une fille comme toi et moi
mais qui ote la vie
à des monstres venus d'en bas.
Cette vie, je ne l'ai pas choisi,
je m'y suis fait petit à petit,
J'ai été désigné comme étant l'élue
et j'ai appris à tuer dans la rue.
Pourtant, des fois, j'ai envie de fuir
cette vie qui m'a fait parfois souffrir,
mais les gens comptes sur moi,
et je ne veux en aucun cas
qu'ils rejoignent Lucifer
et retombent en poussière.
A Sunnydale, je me suis fais des amis,
des amants et aussi des ennemis,
j'ai même perdu ma mère,
mais ma soeur j'ai découvert.
Je suis Buffy,
et c'est ça ma vie....

Par Fanny
Poème sur les pensées de Buffy à propos de Spike après sa mort...

J'espère que tu ne souffres pas trop. Toi.
Toi qui m'as laisser seul dans se monde impitoyable.
J'espère que tu ne ressens pas cette souffrance qui m'habite.
Cette souffrance qui grandi chaque jour en moi.
Qui m'empêche de vivre, de sourire. Et qui surtout, m'empêche de t'oublier.
D'enlever ton odeur de mes draps, de faire disparaître cette image de toi que je ne cesse de voir.
J'espère que tu ne ressens pas cette peine et cette déchirure qui occupe chacune de mes pensées, chaque instant de ma vie.
Ce n'est pas seulement un chagrin d'amour, mais la plus grande perde de ma vie.
C'est une partie de moi qui c'est évaporé.
Qui c'est dissipé, qui n'existe plus. Pendant de longues années j'ai rejeté cette idée de t'aimer.
Je ne voulais pas l'accepter.
Pas encore m'engager dans quelque chose qui allait se finir en larmes et sanglots.
J'aurai du pourtant écouté mon coeur et profité de chaque instant avec toi. De chaque seconde ou tu touchait mon corps brûlant de désir pour toi. De chaque mouvements de tes lèvres qui m'étaient destiner.
De chaque moment où tu osais porter ton regard sur moi. J'aurai tellement du profiter de ton corps, de ton âme, de ton humanisme.
J'étais bien trop aveuglé par cette monstrueuse charge qui trônait sur mes épaules.
J'ai était tellement occupé, que je n'ai, en aucun cas, pu voir l'amour qui grandissait.
Je n'ai même pas pu voir que tu étais toujours là pour moi.
Que tu étais le seul à m'aimer vraiment, à vouloir m'aider et surtout à admirer la vraie femme que j'étais. Car seul toi pouvais admirer cette femme.
Cette femme si fragile, si belle, si amoureuse.
Tu étais le seul qui pouvait arranger les choses.
Le seul que j aimais vraiment.
Et pourtant, je me suis rendu compte de se sentiment à la toute dernière minute.
Cette minute ma paru si évidente, je t'aimais.
Je t'aimais depuis bien longtemps.
Et maintenant que je n'ai plus aucune charge sur mes épaules, tu n'es plus là. Je ne peux plus te sentir, te toucher et user tous mes sens sur toi.
Je ne peux que te pleurer.