Enterrement de vie de démon

Transcript par Sandrine pour Buffy VS. Interdiction formelle de recopier.

PROLOGUE :
Le bureau d'Angel. Angel est assis à son bureau les pieds sur le bureau lisant un livre pendant que Doyle fait les 100 pas impatiemment.
DOYLE : Ainsi c'est ça ? C'est ton plan excitant pour ce soir ? Un livre ?
ANGEL : J'ai eu assez d'excite ment.
DOYLE : Ouais, la variété de combat du mal. Et qu'est-ce que tu dirais d'un peu d'amusement hors-travail ?
ANGEL : Comme quoi ?
DOYLE (pousse les pieds d'Angel en bas du bureau et s'assied sur le bord) : Deux magnifiques mots : Sport Bar ! (Angel lui jette un regard, tourne sa chaise ainsi il peut mettre ses pieds sur l'autre coin du bureau et retourne à sa lecture) Allez ! Tu sais qu'ils ont les jeux Trivia sur internet maintenant ? Tu peux défier les ivrognes du monde entier. N'importe quoi, s'il te plait ! Je ne peux juste pas rester dans les environs pendant que...
CORDELIA (entre dans le bureau portant une robe noire sans bretelle étourdissante) : Pendant que je passe ma nuit avec mon prince incroyablement-plus-riche-que-vous, vous faites votre vie semblable à un ermite triste, n'est-ce pas?
Doyle et Angel se lèvent.
DOYLE : Ouais, c'est pas parce qu'il a de l'argent que cela signifie qu'il peut te rendre heureuse.
CORDELIA : Je vous dirais que Pierce a un peu plus que de l'argent. Il a une maison à Montecito, il a une Mercedes CLK 320 et un terrain dans les collines avec une piscine.
DOYLE : Si tu le prends comme ça.
On sonne à la porte.
CORDELIA (se tourne pour répondre) : Et bien, si je ne suis pas là dans la matinée, vous pouvez simplement nettoyer mon bureau. J'aurai déménagé.
Plan sur Pierce entrant dans le bureau extérieur, il voit Cordelia sortir du bureau d'Angel.
PIERCE : Wow ! Tu es magnifique.
CORDELIA (avec un brillant sourire) : Vraiment ? (Elle jette un coup d'oeil vers le bureau d'Angel) Allons-y.
ANGEL : Tu es pressée? Tu ne nous présente même pas.
CORDELIA (pointe chaque personne) : Angel, Doyle, Pierce. (Elle prend le bras de Pierce) Bye !
ANGEL (alors qu'il essaie de partir) : Tu travailles, Pierce ?
PIERCE : Je vends des options et futurs marchés.
ANGEL : Bien, bien. Vous mangez dehors ?
PIERCE : Le Petit Renard.
DOYLE : Ah, juste. Bel endroit. Le canard est sec.
ANGEL (à Cordelia) : Combien de retard auras-tu ?
CORDELIA : Ne m'attendez pas. (A Pierce alors qu'elle le dirige vers la porte) Ne fais pas attention à lui...
Angel ferme la porte derrière eux.
DOYLE : Elle ne va pas tomber pour moi mais pour mon charme sans prétention ?
ANGEL : A moins que sans prétention signifie que tu n'aimes pas vanterl'argent de ta famille.
DOYLE (feuilletant un des livres d'Angel) : Et le seul argent dans ma famille est sous les coussins du divan. Sans mentionner le fait que la moitié d'entre eux sont des démons. Je suis sûr que si Cordelia découvre ça, mes chances seront en dessous de zéro. (Une photo de Buffy tombe du livre et Doyle la ramasse) Wow. (il siffle) C'est quelqu'un. C'est une de tes vielles connaissances ?
ANGEL (avec un profond soupir) : Oui.
DOYLE : Bien, qu'est-ce qu'elle ressentirait pour un homme avec un accent irlandais ? (il voit le visage d'Angel) Buffy.
ANGEL (plie les bras et soupire) : Oui.
DOYLE : Je... je suis désolé...
Doyle met ses mains sur la tête alors qu'il tombe en arrière sur le divan avec douleur. Plan sur des images floues d'un homme tenu par des chaînes aux poignets.
DOYLE : Il y a un jeune garçon.
ANGEL : Ou ?
DOYLE : Les vampires ont un nid dans les bas-fonds. Pauvre gamin, il va servir d'entrée.
ANGEL : Allons-y. (Il le relève du divan) Allez.
DOYLE : Tout le monde a des plans pour manger sauf nous.

GENERIQUE

ACTE 1
Plan sur le restaurant.
PIERCE : Tu vois, tu dois étudier le temps pour faire un bon investissement dans le marché de l'agriculture. (Cordelia le regarde avec une lumière dans ses yeux) Une fois que tu l'as fais, tu ne regarderas jamais le soja de la même manière. Seigneur, écoutez-moi ! Je ne t'ennuie pas au moins ?
CORDELIA : Non.
PIERCE : Il y avait quelques lourdes plus-values aujourd'hui dans les options de cochons maigres. Le cours est monté à 1700 points. Je veux dire qu'en novembre ils étaient côté à 6 cents. Et tu sais ce que j'ai fait ? J'ai vendu à 6 1/8 points pour un cent ! 6 et 1/8. Peux-tu imaginer quelque chose de plus excitant que ça ?
Plan sur Angel et Doyle combattant dans le nid de vampires. Doyle est jeté contre un mur et son visage se change en démon.
DOYLE (secoue la tête et redevient humain) : Mec, je déteste ça.
Un vampire est prêt de la tête avec un baril de bière quand un bout de bois sort de sa poitrine, il tombe en poussière et révèle Angel debout derrière lui.
DOYLE : J'étais sur le point de le faire.
ANGEL : Je ferais mieux de ramener ce gars à la maison.
Plan sur Doyle et Angel marchant dans un corridor. Angel a le bras de l'homme passé sur l'épaule et il le porte à moitié.
ANGEL : Doyle, tu es plus fort quand tu es un démon, juste ? Alors pourquoi l'as-tu fait partir ?
DOYLE : Je n'aime pas combattre comme ça.
ANGEL : Ce n'est pas un concours. Personne n'attend de combattre loyalement.
DOYLE : Ce n'est pas mon style, c'est tout. Tu veux que je fasse avec ?
ANGEL : Je peux le manier. Le diriger.
Alors qu'il quitte la ruelle, un vampire costaud avec une houppe sort d'un coin derrière eux.
Plan sur la rue en face d'Angel Investigation. Doyle monte les marches et traverse la porte pendant que le le vampire à la houppe le regarde. La décapotable de Perce s'arrête en bas des marches.
PIERCE : Je suis navré que tu ne te sentes pas bien. J'avais espéré que nous pourrions continuer cela cette nuit.
CORDELIA : Moi aussi. J'aimerais vraiment entendre la fin de l'histoire sur les cochons et les haricots.
PIERCE : Tu ne veux pas que je te ramène ?
CORDELIA (sort) : Ma voiture est ici.
PIERCE (sort aussi) : Oh, attends, laisse-moi t'accompagner. (Il prend le bras de Cordelia et la tourne vers lui) Je... Je ne suis pas sur de ce quartier.
TOPKNOT (en vampire) : Vous avez raison, c'est effrayant !
Cordelia et Pierce crient. Topknot enroule son bras autour du cou de Cordelia par derrière. Pierce saute dans sa voiture et part comme un voleur.
CORDELIA (mord le bras de Topknot) : A l'aide !
Topknot crie et lâche Cordelia un moment puis l'empoigne par les cheveux.
DOYLE (tenant une arbalète pointée sur Topknot) : Hé ! Je suis celui que tu as suivi ici. C'est moi que tu veux.
TOPKNOT : Reste ici. Tu auras ton tour.
Doyle a de la peine à trouver une place où le viser sans toucher Cordelia. Finalement, il tire dans le pied gauche de Topknot. Topknot crie et jette Cordelia dans la rue derrière lui, puis il sort le trait de sa chaussure et se précipite en avant vers Doyle avec. Pendant leur combat, ils tombent en bas des marches et la flèche tombe libre. Après plus de bagarre Doyle réussis à l'attraper et tue Topknot avec.
DOYLE (regarde Cordelia alors qu'ils se lèvent lentement) : Ca va ?
CORDELIA (avec un froncement de sourcil) : Oui. Tu as été courageux.
DOYLE : Tu pense que tu pourrais le redire sans surprise dans ta voix ? Tu empiète sur mon moment de virilité.
CORDELIA (encore fronçant les sourcils) : Je suis désolée. Je suis juste...
DOYLE : Surprise ?
CORDELIA : Reconnaissante.
Plan sur Angel Investigation le jour suivant. Angel est assis à son bureau regardant quelques papiers.
CORDELIA : J'étais au "La Petite Renard" avec M. Armani, qui pourrait me garder dans des boites bleues pour le reste de ma vie...
ANGEL : Des boîtes bleues ?
CORDELIA : De Tiffany ! Seigneur. Et je me suis ennuyée toute la soirée. Tout ce que je peux penser à ce sujet c'est que si ce mollasson voit un monstre il lui jetterait probablement une chaussure et courrait comme une belette. Met de côté la partie de la chaussure qui lui donne trop de crédit.
ANGEL : Il n'y a pas beaucoup de personne qui ne courraient pas. C'est juste la nature humaine.
CORDELIA : Oui, mais tous les riches sudistes et consorts ne sont pas assez bien pour moi. Maintenant, j'attends un homme courageux et intéressant. Et c'est votre faute ! A tous les deux.
ANGEL : Et bien peut-être que non. Peut-être que tu es en train de changé. Ca pourrait être une bonne chose.
CORDELIA : Désastreux. Et comme si j'étais déjà pas assez confuse, voilà que Doyle arrive et me secoure comme quelque super-héro mal-habillé. (Soupir) Il était vraiment frappé, mais tu sais ce qu'il m'a demandé en premier ? Ca va ? Je veux dire, c'est quand même quelque chose, non ?
ANGEL : Oui, et bien il y a définitivement plus de Doyle que ce que l'on voit.
CORDELIA : Ainsi je dois me tuer. Je veux dire, je déteste avoir fait ce chemin avec Alexander Harris, j'aurais mieux fait d'être morte plutôt que de continuer à le voir. (Soupir) Encore que, peut-être que tu as raison. Peut-être que Doyle à des profondeurs cachées. Je veux dire, vraiment, vraiment cachée, mais profondes . Et j'ai le devoir de lui acheté un moccachino pour le remercier d'avoir sauvé ma vie, tu ne crois pas ?
ANGEL : Et bien, je...
CORDELIA (se lève pour partir) : Moi aussi. On sera de retour dan une demi-heure. Tu prends les appels, ok ?
Plan sur Doyle rejouant le combat de la nuit précédente avec une règle : C'est moi que tu veux, hein ? (Il plante la règle dans son adversaire invisible pendant que Cordelia arrive derrière lui) Les crocs pour le souvenir, homme vampire ! (Il arrête et remarque Cordelia qui l'écoute ) Hé, j'étais juste... Ce n'était pas...
CORDELIA : Une incroyable attaque spaz ? Bien.
DOYLE (baisse la règle) : Ainsi tu étais... Que puis-je faire pour toi ?
CORDELIA : Et bien, ahem, Je pensais que peut-être je n'avais pas été complètement juste avec toi. Peut-être que tu n'as pas actuellement zéro potentiel.
DOYLE (avec ses bras pliés) : Wow, Cordelia. Merci.
CORDELIA : Ce n'est pas... (soupir) Je voulais juste dire que j'ai vraiment apprécié ce que tu as fait la nuit dernière. Et uhm, je me demandais... peut-être qu'on pourrait... (Une femme blonde type Maria Carey entre dans le bureau et Doyle se tourne pour la regarder) Si vous chercher Angel Investigations, c'est ici. Mais nous sommes en plein milieu de quelque chose. Pouvez-vous nous laisser 5 minutes ?
FEMME (à Doyle) : Hé, Francis.
DOYLE (répond) : Harry.
CORDELIA : Francis ?
DOYLE (à Harry) : Hum, où étais ut?
HARRY : Autour. Hum, Kiribati, Togo, Uzbekistan quelques endroits qui étaient un peu moins touristiques.
CORDELIA : Qui est Francis ?
DOYLE : C'est moi. Allan Francis Doyle. Cordelia voici Harry, ma femme.
Le sourire de Cordelia disparaît alors qu'elle fixe Doyle.

ACTE 2
HARRY (entre et ferme la porte) : Désolée pour la surprise. Mais si j'avais appelé, j'avais peur...
DOYLE : Que je parte en courant ? Ce n'est pas mon style, tu t'en souviens ?
HARRY : Mais c'est le mien ? C'est ce que tu es en train de dire ? Tu veux que je te rappel qui a tiré le premier coup ? Non, laissons-ça de côté, ok ? Embrassons-nous et soyons heure de nous revoir.
Ils s'embrassent et Cordelia regarde ailleurs secouant la tête. Ils se séparent et Doyle croise les bras.
HARRY : Tu as l'air bien.
DOYLE : Ouais, toi aussi.
HARRY : Tu vis encore ainsi ? Tu sais que la boisson n'est pas bonne pour toi.
DOYLE : Ouais, tu me connais. Je suis gars qui aime s'amuser.
ANGEL (entre) : Qu'est-ce qui se passe ?
CORDELIA : Angel, vient rencontre la femme de Doyle.
Cordelia le fixe alors qu'Angel s'approche et serre la main d'Harry sans hésitation : Enchanté.
HARRY : Chouette bureau.
DOYLE : Ouais, je suis un détective privé maintenant. C'est mon entreprise. (Désigne Angel et Cordelia) Ces deux sont mes aides.
CORDELIA : Ugh, c'est... (Angel la frappe dans le dos avec le coude) ouch !
Angel s'éclairci la gorge et Cordelia soupire.
CORDELIA : Vous êtes vraiment marié ?
HARRY : Etions et encore selon les papiers.
CORDELIA : Ainsi, c'était une sorte de mariage blanc.
HARRY (regarde Doyle) : Sans espoir, s'était une sorte de "amour fou, celui où on ne peut pas vivre l'un sans l'autre ". Mais je devine que les temps changent, parce que nous sommes ici, quatre ans plus tard vivant séparément.
DOYLE : Bien, pouvons nous passer à la partie pourquoi es-tu ici exactement ?
HARRY : Peut-être qu'on pourrait parler seul ?
DOYLE : Ouais.
La porte s'ouvre et un gars passe sa tête dans l'office.
HARRY : Oh, je pensais que tu attendais dans la voiture ?
RICHARD : Je sais, mais... (Il entre en fermant la porte derrière lui) Je l'admets, la curiosité l'a emporté. (S'avance et serre la main d'Angel) Hé, Richard Straley. J'ai entendu parlé de vous. (A Harry) Tu as oublié le fait que c'est un beau gars.
ANGEL : Je ne suis pas...
RICHARD : Oh, non, vous l'êtes ! Vraiment.
ANGEL : Je ne suis pas Doyle, c'est lui.
RICHARD : Ah, c'est mieux comme ça. Pas que vous ne soyez pas un bel homme.
HARRY : Richard, salue-le.
RICHARD : Pardonnez-moi, je ne suis plus moi-même. Avec le mariage dans quelques jours maintenant.
Doyle (à Harry) : Il y a un mariage ?
RICHARD : Je n'étais pas supposé dire ça maintenant , non ?
CORDELIA (s'assied avec un sourire) : Non, je vous en prie, continuer.
ANGEL (la tire du divan et la pousse dans son bureau) : Cordelia, allons... allons voir quelques rapport, hmm ?
CORDELIA : Quoi ? Quels rapports ? Quoi ?
Angel mène Cordelia dehors.
RICHARD (à Harry) : J'ai juste...
HARRY : Hon bun ? Je crois que je devrais m'occuper de cela.
RICHARD : Désolé. Je... je voulais juste qu'on soit tous amis.
HARRY : Et nous le serons. J'ai juste besoin d'être seule avec Francis un moment.
RICHARD (part) : Bien sur, vous l'avez.
DOYLE : Hon bun ?
HARRY : Je ne veux pas t'écouter sur cette voie.
DOYLE : Tu... tu vas épouser ce mec ?
HARRY : je sais c'est dingue, hein ? Je suis définitivement le Ying de son Yang, mais ça marche ! Il a un bon coeur Francis, comme toi.
DOYLE : Ouais, peut-être, sauf le récipient. Aurais-je un côté fade avec ce fade ?
HARRY : Je ne suis pas venue pour ton accord.
DOYLE : Alors pourquoi ? Pour voir mon visage quand je le découvrirais ? Pour voir si ça fait mal ?
HARRY : Bien sur que nous. Je ne le ferais jamais. J'ai juste (Elle sort un dossier de son sac) j'ai besoin que tu signe ceci.
DOYLE (regarde les papiers à l'intérieur) : Les papiers du divorce.
HARRY : Ca devait arriver. L'un d'entre nous...
DOYLE : Ouais et bien, peut-être que je devrais montrer ceci à mes gens avant de signer. Je veux être sur que je ne suis pas en train d'acheter une ferme autrichienne.
HARRY : Bien sur. Dis à tes personnes que je reviendrai pour eux dans quelques jours.
Harry pose sa main sur la sienne mais il la repousse.
HARRY (se tourne alors qu'elle ouvre la porte) : C'est bon de revoir, Francis.
DOYLE : C'est Doyle, maintenant. Seulement Doyle.
Harry acquiesce et part.
Plan sur l'appartement d'Angel. Angel pose deux vers sur la table et rempli le premier. Alors qu'il essaie de remplir le second pour Doyle celui-ci pose sa main sur le verre.
ANGEL : Non ?
DOYLE (prend le verre et le regarde) : Harry a raison. Ces choses ne me font pas de bien.
ANGEL (s'assied) : Ainsi, vous ne vous êtes pas vue depuis que vous vous êtes séparé ?
DOYLE : Oh, la fin était rude. On avait pas 20 ans quand on s'est mariés. Fou l'un de l'autre. Et quand les choses vont mal et que tu es jeune, tu ne dis pas seulement Hé, merci pour les problèmes, je souhaite que tout ailles bienpour toi Tu te bats. Tu déchires l'autre jusqu'à ce qu'il y en ai un qui craque. Elle est partie. Mais elle avait raison. Je n'étais pas exactement l'homme qu'elle avait épousé. J'avais changé.
ANGEL : Tu ne peux pas te blâmer. Vous étiez des enfants. C'est naturel...
DOYLE : Quoi, les pics et le visage de démon ? C'est décidément anormal, mon ami.
ANGEL : Pourquoi ne lui en as-tu pas parlé avant de vous marier ?
DOYLE : Je ne sais pas. Je n'ai jamais rencontré mon père. C'était le démon. Et ma mère, et bien, elle attendait de voir si j'avais ses gênes avant de tout confesser.
ANGEL : Ainsi ton démon n'était pas présent...
DOYLE : Jusqu'à mes 21 ans. Harry et moi on parlait d'avoir des enfants. Heu, ça a mis fin à la discussion, tu peux imaginer.
ANGEL : C'est coriace. Je suis désolé.
DOYLE : C'est probablement mieux ainsi. (Soupir) Je suis trop sauvage pour être du type je-reste-à-la-maison de toute façon, tu sais ? Hey, ce Richard, il a l'air de lui donner une belle vie.
ANGEL : Ouais.
DOYLE : Il ressemble à un gars gentil, sympathique, tu ne crois pas ?
ANGEL : Très amical, seulement, il semble un peu...
DOYLE (saute) : Exactement ! Je savais qu'il n'était pas bon. Et même si nous sommes des ex, c'est encore mon devoir de la surveiller, non ? Mais je ne peux pas trainer moi-même après ce qui s'est passé. Ca ne semblerait pas juste. (il s'appuie sur la table) Angel, tu pense que tu pourrais...
ANGEL : Oui, seulement n'en parle pas à Cordelia. Elle t'en voudrait plus.
Doyle le frappe sur les épaules, prends le vers d'Angel et le boit.
Plan sur Richard marchant dans une rue sombre. La caméra tourne pour montrer une ombre le suivant sur les toits. Richard traverse la rue et s'appuie contre la fenêtre d'une voiture boire arrêter au coin. Quand il se relève, il a un petit paquet carré sous son bras. Il regarde les alentours pour être sure que personne ne le regarde et part alors que la voiture démarre et s'en va. Angel le regarde alors qu'il descend quelques marches et ouvre la porte d'un restaurant. Plan sur Richard mettant le paquet dans le frigo de la cuisine. Plan sur Harry entrant dans la cuisine portant une boite avec Richard suivant derrière.
HARRY : Je ne peux pas attendre pour te montre ce que j'ai acheté.
RICHARD : Qu'est-ce que c'est ? C'est pour la lune de miel ?
HARRY : Hmm, quelle taille devrait avoir une nuisette pour être rangée dans une de ces petites boites ?
Ils rient.
RICHARD : Uh-huh. Ne bouge pas, je reviens.
Il va dans la cave à vin et se sert un verre. Après avoir pris une gorgée, il se change en démon au visage rouge. Il retourne dans la cuisine et prend un couteau sur le chemin.
HARRY (essaie de casser les lanières qui maintiennent la boite fermée) : Que fais-tu ?
RICHARD : Je suis là, citrouille.
Alors qu'il arrive derrière Harry avec le couteau dans sa main, Angel saute à travers la fenêtre et le tacle. Angel le frappe au visage et Richard monte ses mains, mais ne se défend pas.
HARRY (attrape le bras d'Angel) : Angel, stop !
ANGEL : C'est un démon.
HARRY : Oui (elle aide Richard à se relever) Chéri.
ANGEL : Vous, vous savez ? Mais il venait vers vous. Il avait un couteau.
RICHARD : C'était pour ouvrir la boite.
ANGEL : Et le paquet, heu, celui de l'homme avec le cigare.
HARRY : Vous l'avez suivi ?
RICHARD : C'était pour le restaurant. Nous servons des délicatesses, cuisse de grenouille, langue de caille et d'autre, ce qui n'est pas illégal...
HARRY : Tu n'as pas à t'expliquer Richard. Doyle vous a poussé à ça, n'est-ce-pas ? Malgré les années, rien ne change. Doyle décide ce dont j'ai besoin...
RICHARD : Maintenant c'est compréhensible chérie. Il ne peut pas t'aider, mais il veut être sur que tu es en de bonnes mains. (A Angel) Je peux vous assurer...
HARRY (à Angel) : Dites à Doyle que je suis dans les meilleures mains qui soient. Richard et sa famille possèdent ce restaurant. Ce sont les démons Ano-movic. Un clan pacifique. Totalement assimilé à notre culture.
RICHARD (masse les épaules d'Harry) : Harry est ethno-demonologiste et elle est sacrément douée. Nous nous sommes rencontré quand elle était en camp de reconnaissance en Amérique du Sud.
ANGEL (à Harry) : Vous étudiez les démons ? C'est votre métier ?
HARRY : Vous avez un problème avec ça ?
ANGEL : Non ! C'est juste... que Doyle a dit...
HARRY : Que quand il se changeait, j'avais peur. Ce qui est vrai. Mais après que je me sois adapté, j'ai réalisé que ce monde entier, riche et intéressant attendait d'être exploré.
ANGEL : Mais vous ne lui avez pas dit ça.
HARRY : Bien sur que je lui en ai parlé ! J'ai même essayé de le faire sortir, rencontrer d'autres démons. Au moins aller à un groupe, vous savez ? Mais il ne pouvait pas s'accepter lui-même, ou eux. Aussi ensuite il était en colère et c'était assez dur de vivre avec.
Plan sur l'appartement d'Angel.
DOYLE : C'est un démon ? Et elle a tout signé pour être Mme Démon ? Dis-moi encore combien il est laid !
ANGEL (montre une photo dans un livre) : Ici, c'est un Ano-movic. Une tribu nomade. A une époque, ils étaient violents.
DOYLE : Voilà ! Je savais que la routine de ce mec sympa était juste une farce. Il lui a jeté un sort. Il va pousser des enjoliveurs de sa tête ou autre chose.
ANGEL (continue de lire) : Mais ils ont renoncé à ces enseignements orthodoxes depuis le début du siècle. (Il ferme le livre et le pose) Maintenant, ils possèdent des restaurants avec des fenêtres très chères.
DOYLE : J'ai complètement l'intention d'en ébréché. Tu sais tout ce temps où Harry me disait combien mon démon pourrait être étonnant, les mondes qui s'ouvraient à nous, je pensais qu'elle essayait seulement de me remonter le moral. Je pensais qu'elle avait pitié de moi. Mais c'était vrai. (soupir) Tu sais qu'Harry n'est pas partie à cause du démon en moi, elle est partie à cause de moi.
Doyle se lève et signe les papiers du divorce avec un soupir. Nouvelle scène, Doyle tend les papiers à Harry.
HARRY : Merci Doyle.
RICHARD (serre la main de Doyle) : Oui, merci. Vous ne savez pas ce que cela signifie pour moi... ou je devine que vous voyez... vous avez été marié une fois et à Harry pas moins.-
HARRY : Tu as une photocopieuse ? Je pourrais...
DOYLE : Oui, il y en a une dans le bureau d'Angel. Cordelia t'aidera.
Harry part.
RICHARD : Harry est une femme étonnante, non ? Vous savez Doyle, hum, je suis content qu'on puisse parler d'homme à homme.
HARRY : C'est parfait. Richard voulait être un moment seul avec Doyle pour l'inviter à l'enterrement de sa vie de garçon.
CORDELIA : L'enterrement de sa vie de garçon ? Pourquoi, il a peur d'avoir commandé trop de bière ?
HARRY : Richard et sa famille veulent l'approbation de Doyle avant le mariage. Ce sont d'adorables démons. Il y a de très bonne vibrations autour d'eux.
CORDELIA : Ca semble bien.
HARRY : Vous savez, sa maman m'a demandé d'invité des amis à ma fête, mais j'ai été seulement en contact avec elle. Vous êtes la première fille que je rencontre dans cette ville qui soit plus jeune que 370 ans. Vous pensez que vous...
CORDELIA : J'adorerais !
RICHARD : Ca veut dire beaucoup pour moi. Mais plus que ça, je pense que ça m'ouvrirait le monde de Harry si vous veniez à ma fête.
Plan sur une jolie maison dans un quartier résidentiel. Plan sur la famille de Richard assis ensemble à table.
RICHARD : Ugh, on doit vraiment avoir les ailes de poulet ? J'ai les types dans la cuisine qui ont fouetter en Foie Gras.
PERE : C'est un enterrement de vie de garçon, Rich. Tu es supposé mangé mal et boire de la bière.
MERE (apporte un bol de poulet sur la table) : N'oubliez pas la strip-teaseuse. (tout le monde la fixe) Quoi ? Comme si je ne savais pas ? (Rires) Soyez sure que tout ce qu'elle fasse s'est se déshabiller.
RICHARD : Maman, je ne veux même pas...
FRERE : Désolé Rich, c'est ton enterrement et nous allons nous amuser que tu l'aimes ou non.
RICHARD : Et bien, j'espère que cette sorte de haut maléfice ne va pas donner une mauvaise impression à Doyle.
TANTE : Qui est Doyle ?
COUSIN : Le premier mari de Harry. Richard l'a invité.
RICHARD : Il est vraiment très . Je pense que vous allez tous l'apprécier. Ok, d'accord pour une danseuse. Maintenant ou en étions nous ?
PERE (lit sur la liste) : Voyons voir... Premièrement nous félicitons l'homme du jour, ensuite nous buvons. (Ouais autour de la table) Ensuite nous mangeons, puis nous buvons (Ouais) Viens la strip-teaseuse (Ouais) les fléchettes, ensuite nous avons le rituel qui consiste à manger le cerveau du premier mari et enfin les charades.
FRERE : Attend ! Qu'est-ce que c'était ? des charades ?
COUSIN : Ouais, je connais pas ça.
RICHARD : Vraiment ? Je pensais que ce serait drôle.
TOUS : Oh, ok.

ACTE 3
Plan sur la nuit. Doyle et Angel entrent dans le restaurant pour l'enterrement de la vie de garçon. Toute la famille mâle de Richard est là.
RICHARD (va embrasser Doyle) : Salut, Francis !
DOYLE : Doyle.
RICHARD : Oh, désolé. (il se tourne vers la pièce un bras autour des épaules de Doyle) Tout le monde voici Doyle.
FRERE (assis à la table avec le cousin) : Et il a apporté quelqu'un.
RICHARD : Angel. C'est une surprise.
ANGEL : Oui, j'ai pensé que je pouvais employer la porte cette fois.
DOYLE : Je lui ai demandé de venir. J'espère que ça ne dérange pas ?
RICHARD : Non. Maintenant la fête peut vraiment commencer, hein ? (A la salle entière) Ecoutez-moi, cette fête est pour Doyle autant que pour moi, même plus. C'est le vrai célibataire ici.
DOYLE : Ouais, et merci pour ne pas évoquer le sujet.
RICHARD : Tu te laisse tenter par un breuvage ?
Richard et Doyle se dirigent vers le bar. Angel les suit lentement en passant par la table où sont assis le Frère et le Cousin.
FRERE : Indata mahouda menaka tant.
COUSIN : Hlorwoip canano.
FRERE : Hlorwoip ?
COUSIN : Duh !
Angel les regarde et ils lui font un sourire bête. Angel avance avec un acquiescement amical.
RICHARD (porte un toast avec Doyle au bar) : A Harry.
DOYLE : Harry.
RICHARD : Comment était-elle Doyle ?
DOYLE : Comment quoi ?
RICHARD : Le bon vieux temps. Les années ou tu l'avais, les années que j'ai manquées. Dis-moi tout.
Plan sur la fête de Harry.
HARRY : C'était un cauchemar. Ok, peut-être pas au début. Initialement, j'aimais vraiment sa façon de me prendre en charge.
CORDELIA : Doyle ? Prendre en charge.
HARRY : C'était mignon. Mais après un moment, je veux dire je sais comment couper mes propres repas, merci. De temps en temps, j'avais l'impression d'être l'une de ses élèves.
CORDELIA : C'est marrant, pendant un moment j'ai cru que vous disiez l'un des élèves de Doyle ?
HARRY : Ce n'était pas amusant d'être traité comme un étudiant de troisième, croyez-moi.
CORDELIA : Enseigner le troisième grade (elle et essaie encore) Doyle enseignait le troisième grade ? Celui avec des enfants ?
HARRY : Ouais.
CORDELIA : Etes-vous sure qu'il ne mentait pas et utilisait cela comme couverture ?
HARRY : Francis a eu son diplôme d'enseignant avant même que l'on se rencontre à la banque de la nourriture...
CORDELIA : Ok, la soupe populaire. Maintenant ça ressemble un peu mieux au Doyle que j'ai appris à connaître et à injurier. Vous alliez juste me dire qu'il y courrait ?
HARRY : Il était seulement volontaire. C'est là qu'il a eu l'idée pour cette chose "You Are The World". (Cordelia la regarde choquée) Je plaisante pour cette partie.
TANTE : Venez les filles, c'est le moment du picionnary X !
HARRY (à Cordelia) : Leurs manières ne sont pas les notres.
Plan sur le restaurant. Angel se promène partout pendant que les gens réclament la strip-teaseuse.
HOMME 1 : Où peut-elle bien être ?
HOMME 2 : Elle devrait arriver d'un instant à l'autre !
HOMME 3 : Où est-elle ?
HOMME 4 : Buvons.
HOMME 5 : Celui-ci pour Doyle !
HOMMES (ils l'ovationnent et l'acclament) : Doyle !
Angel observe le frère et le cousin à leur table. Richard et Doyle boivent ensemble au bar.
RICHARD : J'ai une confession a te faire. Depuis que j'ai appris que Harry avait été mariée avant, j'ai eu l'impression de vivre dans ton ombre.
DOYLE : Vraiment ?
RICHARD : Tu as été celui que je ne pourrai jamais être pour elle, son premier. Elle t'aimera toujours Francis. Toujours. Mais elle a besoin de choses différentes maintenant. Je sais que je peux la rendre heureuse mais j'ai besoin de toi pour y arriver."
DOYLE : Moi ?
RICHARD (appuie une main sur l'épaule de Doyle) : Je dois avoir ton consentement, Doyle. Sans cela il n'y aura pas de mariage.
HOMMES (viennent et emmènent Richard) : C'est le moment mec !
RICHARD : Oh, fellas (Il le mette sur une chaise au milieu de la pièce et la strip-teaseuse s'approche de lui) Oh seigneur.
Angel vient près de Doyle alors qu'il regarde la strip-teaseuse près de Richard.
ANGEL (à Doyle) : Ca va ?
DOYLE : Oui.
Angel voit le frère et le cousin quitter la pièce et les suit. Il traverse une cuisine déserte et monte quelques marches qui mènent à une sorte de mansarde. Le père se trouve en face d'un feu brûlant dans un petit pot tenant un couteau incurvé dans une main.
PERE : Ino platbrata iko iko retvan el shak (Passe le couteau sur la paume de sa main. Quelques gouttes de sang tombent dans le pot et le feu flamboie) Ino platbrata iko iko retvan el shak.
Plan sur le téléphone cellulaire de Cordelia sonnant à la fête.
CORDELIA : Allo ?
ANGEL (au téléphone dans le restaurant) : C'est moi. Où es-tu ?
CORDELIA : Dans le monde inférieur connu comme la zone 818. Pourquoi ?
ANGEL : Passe-moi Harry.
CORDELIA : Attends. (Elle se lève et tend le téléphone à Harry). C'est pour toi. C'est Angel.
HARRY (au téléphone) : Allô ?
ANGEL : Comment est votre Aratuscan ?
HARRY : Rustique, considérant que c'est un langage démonique mort .
ANGEL : J'ai besoin de la traduction de 'Ino platbrata iko iko retvan el shak'.
HARRY : Qu'est-ce qui se passe Angel ?
ANGEL : Je ne sais pas encore. Vous voulez bien voir ça pour moi ?
HARRY : Je crois, hum, que je pourrais consulter la bibliothèque familiale.
ANGEL : Merci.
Il raccroche le téléphone et se retourne pour rebondir dans le cousin.
COUSIN : Hé, quel est ton problème ?
ANGEL : Aucun.
COUSIN (pousse Angel) : Est-ce que tu me manquerais de respect ?
ANGEL : Non.
COUSIN : Alors maintenant je suis un menteur ?
Le cousin frappe Angel 2 fois au visage avant qu'Angel revienne et exerce des représailles. 2 démons de plus se pressent et une bagarre s'ensuit. Plan sur la streap-teaseuse et Richard. Plan sur le combat. Maintenant ils sont à 4 contre 1. Ils jettent Angel la tête la première dans le mur. Plan sur la strip-teaseuse. Plans sur le combat. Les 4 empoignent Angel et le jette tête la première à travers quelques lamelles en bois de la ventilation. Il roule en bas du toit, rebondi sur le couvercle en métal d'une poubelle et perd connaissance sur le sol.
COUSIN : Quand un homme ne peut pas tenir l'alcool.
Plan sur la strip-teaseuse partant et Richard se levant de sa chaise et retournant vers Doyle au bar.
RICHARD : J'espère qu'Harry ne saura pas pour ça.
DOYLE : Pas par moi.
RICHARD (le tapote sur l'épaule) : Tu es un bon demi-homme. As-tu pensé à ce dont nous avons parlé ?
DOYLE : Yup, et je dois te dire que j'ai beaucoup de chose à regretter dans ma vie, mais rien ne dépasse ce qui c'est passé entre Harry et moi. J'aurais du la rendre heureuse, et je ne l'ai pas fait. Et maintenant nous avons tous les deux une seconde chance. Pour être heureuse et moi pour ne pas rester. Je crois que ce que j'essaie de dire c'est que je vous donne ma bénédiction, Richard. (Il soupire et tapote Richard sur le bras). Le seigneur vous béni. (Quand Richard l'atteint pour l'étreindre) Aussi longtemps qu'on saute les étreintes.
RICHARD (à la salle) : Hé, bonnes nouvelles. Doyle donne sa bénédiction. Il consent.
Acclamations tout autour.
RICHARD : Un toast à Doyle.
Plus d'acclamations. Papa et les autres qui se sont battus contre Angel entrent dans la pièce. Tous les gars entourent Doyle et le poussent en arrière.
DOYLE : Pas d'embrassade, maintenant. On a un accord.
HOMME : Doyle, nous avons quelque chose pour vous.
Ils poussent Doyle dans une boite rouge avec un trou sur le dessus et l'enferme, ainsi seule sa tête sort.
DOYLE : Vous savez c'est génial, mais je ne peux pas atteindre les bretzels.
RICHARD : Doyle, je veux juste te dire combien je suis ému par ton sacrifice. J'espère que ça ne fera pas de moi moins d'un homme à tes yeux.
DOYLE : Sacrifice ? Hein ?
Tous les gars se changent en démon au visage rouge.
DOYLE : Ok, ça ne peux pas être bien. (Un gars s'approche et injecte quelque chose dans le côté de la tête de Doyle) Aie ! Hey, ma tête devient engourdie.
RICHARD (alors que quelqu'un met un bavoir de homard sur lui) : Et bien, je l'espère ! Nous ne voulons pas que tu souffre quand on découpera ton crâne.
Doyle les regarde tendre le couteau courbe à Richard.

ACTE 4
Plan sur Cordelia et Harry regardant dans quelques livres.
HARRY : Ca ne peut pas être vrai.
CORDELIA : Quoi ?
HARRY : Quelque chose sur le fait d'ingérer l'amour du passé.
CORDELIA : Est-ce que Doyle ne serait pas ton amour passé ?
Elles se regardent puis Harry se lève pour parler au reste des invitées.
HARRY : Excusez-moi, mesdames.
MERE : Qu'est-ce qu'il y a chérie ?
HARRY : C'est au sujet de l'enterrement de garçon. Richard a dit qu'avoir le cadeau du premier époux était une sorte de tradition. Je me demandais seulement...
TANTE (plaisantant) : Et bien ils ne vont certainement pas manger le cerveau de votre ex-mari ! (Harry et Cordelia attrapent leurs affaires et se dépêchent de sortir) par exemple.
Plan sur Angel étendu sans connaissance dans la rue. Plan sur Doyle dans la boite. Un homme marque une ligne sur son front.
DOYLE : Oh, seigneur, où est Angel ? ANGEL !
RICHARD (avec son bavoir) : Apparemment il a commencé à se battre. Il a du être éjecté. Puis-je faire quelque chose pour toi ?
DOYLE : Comment vas-tu expliquer ceci à Harry, hein ?
RICHARD : Oh, Harry comprendra. Elle aime et accepte notre culture, comme j'aime et j'accepte la votre.
PERE (prend une petite fourchette posée à côté de la tête de Doyle sur la boite) : Nick, qu'est-ce que c'est ?
NICK : Tu as dit de prendre un ustensile.
PERE : C'est une fourchette à crevette, il va manger son cerveau avec une fourchette à crevette ?
NICK : Pardonne moi si nos ancêtres n'ont pas laissé derrière eu une fourchette pour manger-le-cerveau-du-mari.
PERE : Va chercher une cuillère à soupe.
RICHARD (à Doyle) : Supporte avec nous. Nous sommes un peu poussés sur l'étiquette de cela. Ce rituel n'a pas été effectué depuis des siècles. Cela fait longtemps qu'un membre du clan épouse une divorcée.
DOYLE : Hein ?
PERE : Les livres nous disent tout très clairement qu'ingérer le cerveau du premier mari d'une future mariée ayant déja été mariée nous assurera un heureux second mariage. Par ce biais, Richie peut incorporer tout l'amour que vous et Harry avez partagé, rendant leur union complète. C'est un trun Ano-movid.
DOYLE : Richard, j'aime ta famille et ils sont géniaux, honnêtement, je préfère vraiment qu'il ne me cannibalise pas.
RICHARD : Oh non ! Tu as mal compris.
DOYLE : Vraiment ?
RICHARD : Oui. Ce sera seulement moi.
DOYLE : Pourquoi je ne t'ai pas donner cette accolade et nous pouvons même l'appeler ?
RICHARD : Tu ne vas pas te défiler ? Pas après que tu as donné ta bénédiction.
DOYLE : Si, si, je la reprends !
RICHARD : Oh, et bien je vois. Maintenant, je ne suis pas sur que veux manger ton cerveau !
PERE : Ne soit pas irritable, Richard. Tu mangeras son cerveau. Il ne peut pas reprendre une bénédiction. Maintenant excuse toi auprès de tes amis.
RICHARD : Il a raison. C'était grossier. Je serai honoré de manger ton cerveau.
Plan sur Angel se levant. La coupure sur son front disparaît alors qu'il se change en vampire. Plan sur la fête.
PERE : Et bien, je crois qu'on est prêt. (Il tend à Richard le couteau) Richard, voudrais-tu t'occuper de faire la première entaille ?
Pendant que tout le monde regarde Richard et Doyle en anticipation Angel heurte les doubles portes.
ANGEL (en vampire) : La fête est terminée.
NICK : Tu as amené un vampire à la fête de mon frère ?
Angel est placé entre des Ano-movics à gauche et à droite. Il semble plus fort en démon et vraiment faché. La boite de Doyle sur des roues continue de bouger et avance à travers la querelle . Le verrou s'ouvre d'un coup sec.
DOYLE (en démon) : Harry dit que je devrais me mélanger avec d'autres démons, et bien je le fais !
Doyle rejoint la bagarre, et pourtant, il n'est pas aussi bon qu'Angel, il tente d'infliger quelques dégâts de son mieux. Harry court dans le restaurant suivie de Cordelia.
HARRY : Stop ! Stop ! Arrêtez tout de suite !
Tout le monde s'arrête. Angel lève la tête et redevient humain. Doyle se lève douloureusement d'une cabine.
RICHARD (regardant par dessus le dos du banc sur lequel il est étendu) : Hon bun ! C'est pour les hommes seulement.
HARRY : Je sais ce que tu t'apprêtais à faire Richard Howard Straley.
RICHARD : La strip-teaseuse c'était pas mon idée, pook. Je le jure.
HARRY : Pas la strip-teaseuse, Richard. Il y a avait une strip-teaseuse ?!
RICHARD : Tu ne devrais pas être là.
CORDELIA : Et bien, vous n'auriez pas du essayer de manger le cerveau de mon ami ! Vous êtes horribles, des démons laids !
Doyle s'assied sur le banc à côté de Cordelia. Cordelia voit son visage de démon, ramasse un plateau en argent et commence de le cogner sur la tête.
ANGEL (court pour l'arrêter) : Cordelia. C'est bon !
CORDELIA (à Angel) : Ce n'est pas bon ! (Doyle se lève derrière son dos avec son visage humain. Cordelia se tourne et voit la marque sur son front) Doyle ! Regarde ce qu'ils t'ont fait.
HARRY (se place devant Richard, les mains sur les hanches) : Je vais seulement te demander cela une seule fois Richard et j'attends une réponse honnête : allais-tu où n'allais-tu pas manger le cerveau de mon ex-mari.
RICHARD (timidement) : D'une certaine manière, oui.
HARRY : Et quand avais-tu prévu de m'en parler ?
RICHARD : Je pensais que peut-être, je n'aurais pas eu à le faire.
HARRY : Tu allais commencer notre vie ensemble avec un mensonge ?
DOYLE (à Angel) : Elle marque un point, non ?
RICHARD (à Harry) : J'essayais juste de bénir notre mariage comme dans les anciennes moeurs.
HARRY : Et depuis quand ta famille suit-elle les anciennes moeurs.
ONCLE : Nous ne vantons pas nos croyances, mais elles sont très chères pour nous.
HARRY (à l'oncle) : Oh, s'il-te-plait Oncle John ! Quand était la dernière fois que tu as prié loin de ESPN assez longtemps pour répandre le sang d'une chèvre?
COUSIN : Vas-tu la laisser parler ainsi à Oncle John ?
HARRY (à Richard) : Tu sais ce que je ressens pour ces coutumes barbares Ano-movicienne !
COUSIN : Raciste ! Tu n'es rien d'autre qu'une raciste !
RICHARD (à Harry) : J'aurais du t'en parler. Je suis désolé. Mais à moins qu'on complète le rituel, ma famille ne consentira jamais à ce mariage.
Il y a des murmures d'assentiments. Harry regarde Richard. Elle se tourne et regarde Doyle et Angel, se retourne et prend la main de Richard.
RICHARD : Hon bun ?
Harry se retourne et Richard regarde la bague de fiançailles qu'elle vient de lui rendre. Alors qu'elle marche près de Doyle et Angel, Doyle ouvre la bouche pour dire quelque chose.
HARRY : Un mot, Francis, juste un mot et je mangerai ton cerveau !
Angel et Doyle la suivent dehors. Son frère et son cousin se rapproche pour réconforter Richard.
FRERE : Tu n'as pas besoin d'elle !
COUSIN : Ouais, qui voudrait d'une femme dont les genoux ne se plie que d'une manière ?
Plan sur Angel Investigations. Doyle se lève de l'ordinateur et va s'étaler sur le divan. Angel et Cordelia le regardent à travers les vitres teintées de son bureau.
CORDELIA : Il lui a parlé.
ANGEL : Ouais.
CORDELIA : Ca ne va pas bien, hein ?
ANGEL : Je pense qu'elle a besoin d'un peu de temps.
CORDELIA : Il est encore accroché à elle ?
ANGEL : Hmm, plus qu'il le pense, probablement, oui.
CORDELIA : Bien quelqu'un doit sortir d'ici et l'encourager.
Angel regarde Cordelia et après un moment se lève.
CORDELIA (lève une main pour l'arrêter) : Oh, s'il te plait. Quelqu'un avec un coeur qui bat.
Angel la suit pour rester à la porte de son bureau alors qu'elle va vers Doyle.
CORDELIA (avec un magnifique sourire) : Salut Doyle. Est-ce que tu vas devenir le gars épinglé perdant à plein temps maintenant ? Parce que tu sais, on en a déjà un dans le bureau.*
ANGEL : Hé !
DOYLE : Hé !
CORDELIA : Il peut faire avec. Il est grand et regarde la manière dont les vêtements tombent sur lui. Mais toi...
ANGEL : Ok, je pense que tu nous as assez encouragé.
CORDELIA : Tu ne peux pas vivre dans le passé. Tu dois passer à autre chose. Allez. Oublie ça. Demain est un autre jour. (Doyle s'assied sur le divan) T'ai-je de laisser passer ?
DOYLE : 2 fois.
CORDELIA (s'assied à côté de lui avec un soupir) : Tu passeras à travers ça, Doyle. Les mecs biens ne finissent pas toujours dernier.
DOYLE : Tu pense que je suis un mec bien ?
CORDELIA : Je le pense, je le dis. C'est ma manière.
DOYLE : Merci.
CORDELIA : Tu te sens mieux ?
DOYLE : Ouais.
CORDELIA : Ouais ?
Soudainement gémit de douleur alors qu'une vision le frappe. Cordelia se relève de sofa.
CORDELIA (à Angel) : C'est pas ma faute.
ANGEL : Il a une vision.
CORDELIA : A cette heure ?
Plan sur des images de Buffy combattants des hommes.
DOYLE (regarde Angel) : Oh.
ANGEL : Quoi ? Qu'as-tu vu ?
Doyle le regarde et soupire.