La Soirée de Sadie Hawkins
Transcript par Sandrine pour Buffy VS. Interdiction formelle de recopier.
PROLOGUE :
Au Bronze, tout le monde danse et Buffy est au deuxième
étage. Un garçon arrive.
GARCON : Bonsoir! Je suis Dave, du cours d’algèbre de
l’année dernière. Buffy : Peut-être mais je fait un blocage
sur se qui attrait au math, tu sais!
DAVE : Jackson, notre prof au deuxième semestre, tu étais
au deuxième rang près de la fenêtre.
BUFFY : Ah! Oui je me rappelle, tu avais toujours des
montagnes de stylos et les bonnes réponses! C’est ça?
DAVE : Oui!
BUFFY (elle se tape la tête avec son doigt) : J’ai la tête
en chewing-gum!
DAVE : Oui je voulais te demander, la soirée de demain… tu
vais y aller?
BUFFY : Le bal de Sandie Hawkins? Où les filles invite un
copain?
DAVE : Oui, eh… j’aimerai bien, si tu na pas de fiancé, que
tu penses à moi. (Rire nerveux)
BUFFY : Ah! Désolé, non, je suis…
DAVE : Non arrête!
BUFFY : Non écoute!
DAVE : Ne te justifie pas!
BUFFY : Tu es très sympa, ça n’as rien avoir avec toi. Ce
qui cloche c’est… moi! Je ne veux plus sortir avec
personne. Jamais, j’ai choisie d’être solitaire.
DAVE : Oh! Ca c’est dommage. Bon ben je m’en vais!
Il part.
BUFFY (pour elle-même) : Je regrette!
Elle descend et rencontre Willow.
WILLOW : Hey! Coup de bar!
BUFFY : Ben, je vais passer par la bibliothèque voir si
Giles a besoin de moi et… j’irais me coucher.
WILLOW : Tu fais beaucoup ça c’est temps si, patrouiller et
te coucher. En faite, tu ne pense a rien d’autre qu’au
boulot. Tu t’amuses ma vieille!
BUFFY : Mais c’est pas vrai, j’arrête pas de m’amuser. La
preuve, je suis là ce soir!
WILLOW : Oui tu es venue, tu la vue et tu la… rejeter!
BUFFY : Tu parles de ce garçon. Disons que je ne suis pas
d’humeur rencontre!
WILLOW : Il suffie peut-être d’un rencontre et tu sera
d’humeur!
BUFFY : Je crois que je ne suis pas encore prête surtout!
WILLOW : Ton défaut, c’est que tu penses trop! Soit un peu
plus impulsive!
BUFFY : Impulsive! Tu te rappelles de mon ex petit copain,
le vampire. Son âme a disparue avec lui quand on a fait
l’amour ensemble et maintenant le démon, qui porte son
visage, détruit mes amis et j’ai plutôt envie d’y réfléchir
a deux fois avant d’être accro!
WILLOW : D’accord! L’histoire Angel a mal tournée et ça on
peut vraiment pas le nier… seulement se n’étais pas de ta
faute. Et en plus l’amour ce n’ai pas toujours aussi
triste… c’est souvent très bien, très gai!
Dans un couloir du lycée, un garçon court après une fille
et la rattrape.
GARCON (en colère) : Non reviens, on a pas finie! (Il la
prend par le bras.) Tu ne ressens rien pour moi, c’est ça?
FILLE (elle pleure) : Ca ne compte pas, ça n’a pas
d’importance, la souffrance.
GARCON : Dit moi que tu m’aimes plus, hey! Aller dit le!
FILLE : Est-ce que ça t’aidera? C’est ce que tu veux
entendre? D’accord, je ne t’aime plus! Laisse-moi!
GARCON : Non, c’est pas vrai! On se réveille pas comme ça
le matin en cessant d’aimer!
Il recule et il pointe un revolver sur la fille.
GARCON : Aimer c’est pour la vie!
GENERIQUE
ACTE 1
GARCON : Je n’ai pas peur de m’en servir, j’te le jure si
tu m’abandonnes…
Buffy arrive.
BUFFY : Arrête!
FILLE : Je t’en supplie!
La fille se retourne et part à courir.
GARCON : Toi reviens, tu ne peut pas me plaquer!
Le concierge qui entend des bruits pose son balai et court
vers le bruit. Buffy saute sur le gars qui échappe le
revolver te se battent. Le concierge arrive et va vers la
fille. Buffy lève le garçon qui s’emble perdu.
GARCON : Qu’est-ce qui se passe?
BUFFY : Ca c’est la meilleure! Rien sauf que tu as failli
tuer ta copine!
GARCON : C’est délirant! Cette réaction ce n’ai pas du tout
moi!
BUFFY : Tu es peut-être singlé?
FILLE : Mais non! C’est venu comme ça, d’un coup, sans
raison.
GARCON : C’est vrai, je le jure sur la tête!
BUFFY : Alors pourquoi t’avais un revolver?
GARCON : Je sais pas, je ne voie pas d’où il vient!
Le concierge va voir pour trouver le revolver.
CONCIERGE : Il n’y a pas de revolver!
Tout le monde est intrigué.
Au lycée, Snyder rentre dans son bureau où est assise Buffy.
SNYDER : Vous savez bien sur pourquoi je vous ai invoquer!
BUFFY : Non merci!
SNYDER : C’est exact! Je veux en effet vous remerciez. Que
deviendrait notre cher Sunnydale sans votre aptitude a
déclancher des phénomènes étranges, des chaos et d’autres
désordres.
BUFFY (désespérer) : C’est injuste, c’est dingue. Je viens
d’intervenir pour empêcher un garçon de tuer sa copine.
Aller demander à George!
SNYDER : On peut influencer tout le monde. Je sais bien que
les complots existent. J’ai vue GFK, j’aime la vérité. Une
arme a disparue et j’ai deux jeune gens désorienter sous
les bras. C’est un puzzle et j’ai bien l’intention d’en
examiner toutes les pièces d’un point de vue rationnel et
logique pour prouver que tout ça vient bien de vous.
BUFFY : Monsieur….
L’INTERCOM : Monsieur Snyder, Billy Combrel c’est encore
enchaîner à la machine à café.
SNYDER : Ah! Le petit végétarien, inutile et sans cervelle.
Il commence à partir et Buffy se lève.
SNYDER : Une seconde jeune fille, je n’en n’ai pas fini
avec toi. Tu respires le mensonge.
Il lui pointe la chaise, elle s’assoit et il s’en va. La
caméra va vers l’étagère et un livre y tombe. Buffy se lève
pour le ramasser. « Sunnydale 1955 » Elle le prend et le
remets a sa place.
Dans la classe d’informatique, Willow fait son cours.
WILLOW : Donc la prochaine fois, nous verrons les chapitres
sur la programmation bimère sur les bases de donnée. Je
parie que le codage vous amusera.
Giles arrive et s’accote sur le cadre de porte.
WILLOW : En fait, bien sur si vous avez compris que un plus un égale
dix. Pour ceux qui pense encore que ça fait deux… Bon
j’aurai plus de film.
Tout le monde rie, la cloche sonne et tout le monde part.
WILLOW : Ah! Giles, ça marcher, vous avez entendu, j’ai
réussit a les faire rire!
GILES : Oui, oui en effets, en fin apparemment! Tu a fait
de l’excellent, du très bon travail! Eh! J’ai passé voir si
tu avais besoin de mon aide mais il est clair que tu te
débrouilles très bien toute seule.
WILLOW : Oui, il faut dire que le travail était mâché. Mlle
Calendar avait tout préparé d’avance.
GILES : Oui c’était quelqu’un de très… consciencieux.
WILLOW : J’ai trouvé des fichiers et des dossiers sur
Internet sur le paganisme, la magie et le surnaturel.
GILES : Oh!
WILLOW : Oui c’est passionnant ces recherches! Et eh… j’ai
trouvé ça dans son tiroir. Elle me lavait monter. C’est un
quartz rosé, ça des vertus curatif. Je suis certaine
qu’elle voudrait que vous portiez.
GILES : Merci! (Il se lève et le prend) Je te remercie
beaucoup, c’est… très gentil.
Il part.
Dans une salle de cours, Buffy à les yeux fermé
PROF : Avant 1935, l’action du Nudil était concentrer
sur la revitalisation des affaires périgliantes et des
communautés agricoles. Le Nudil tenta aussi de réguler la
hiérarchie financière de la nation afin d’évité un autre
désastre comme celui du crash boursière de 1929.
Changement d’époque pour Buffy. Elle cherche où elle est et
personne ne la voit. Le prof à été changer par une prof. Un
jeune garçon va porter sa copie plus tard que les autres au
prof. Buffy regarde sans comprendre.
PROF : Merci James. Tu a aimé le livre que je t’ai
prêter, celui de d’Émingway?
JAMES : Il me plait beaucoup, je l’ai presque fini… (il
prend la main de la prof) il est bien.
PROF : Oui… d’ailleurs, il est basé sur une histoire
authentique. Il tombe amoureux de sa…
La porte s’ouvre et Buffy se réveille dans sa classe
normale.
PROF : … du temps de travail des enfants inclus dans la
recommandation du travail. (Tout le monde ri) Des quest…
Au tableau c’est écrit : « Je t’interdit de me plaquer! »
Le prof l’efface et tout le monde ri de se qu’il a écrit.
Buffy semble surprise.
Dans le couloir, Buffy marche avec Alex.
BUFFY : Je te garantie qu’il se passe des choses étranges!
ALEX : Il se passe des choses étranges, mais c’est la
devise de notre école.
BUFFY : Tu n’as pas tort, mais c’est curieux, cette fois ça
me turlupine!
ALEX : Je ne voudrais pas en rajouter mais la dispute
amoureux, le dérapage sur le tableau, ça ma tout a fait
d’l’air de faits démoniaques.
En ouvrant son casier, Alex se fait empoigné au cou par un
bras vert. Buffy le tir par derrière mais le bras réussit
toujours a le garder. Buffy réussit et ferme le casier.
Tout le monde les regarde. Buffy ouvre le casier et n’y
trouve rien.
À la bibliothèque, Buffy el Alex y arrivent.
WILLOW : Alex, t’as vue ta chemise? Tu t’es battue avec
Cordélia?
ALEX : Ton sens de l’humour me fera toujours mourir de
rire! Figure toi que je viens de me faire attaquer par une
espèce de… gros bras dans mon casier.
GILES (qui fait l’inventaire de ses livres) : Un grand
musclé?
BUFFY : Il parle d’un monstre dans son casier. C’était
plutôt une apparition, un bras à la peau de serpent sortie
du casier. Mais quand on a ouvert plus rien, envolé.
ALEX : C’était juste après que le prof d’histoire de Buffy
se mette à faire de la télépathie en classe.
GILES : Oh! On dirait un phénomène paranormal!
WILLOW : Un revenant, c’est cool!
ALEX : Non, non, non, non c’est pas cool. C’était pas un
fantôme avec des chaînes. C’était plutôt du genre : « Je
suis mort et je ne compte pas en rester là, croie moi! »
GILES : En dépit d’un langage un peu imagé, c’est une
définition pertinente d’un Polter Guys.
ALEX : J’ai définie qu’elle que chose, moi? Avec
pertinence, alors j’ai plus besoin d’étudier!
BUFFY : Il y a un mauvais esprit farceur ici!
GILES : Ouais!
WILLOW : Pourquoi est-ce qu’il est la? Il veut juste nous
faire peur?
GILES : Je crains qu’il ne sache pas ce qu’il veut au
juste. C’est là le point noir. Voyez-vous, la plupart du
temps, un spectre est harceler par les tourment dont
souffre les mortel mais… mais lui n’a aucun moyen de
trouver la paix de l’esprit. Alors il essai, il tourne en
rond, il devient de plus en plus troubler, de plus en plus
furieux.
BUFFY : C’est un ado normal alors, sauf qu’il est mort.
WILLOW : Mais qu’est-ce qu’on peut faire? Est-ce qu’il u
a un moyen de le stopper?
GILES : Le seul moyen efficace que je connaisse, c’est
d’essayer de savoir ce qui le tourmente. Ce qui le retient
dans ce monde et dans supprimer les causes, c’est simple.
BUFFY : Super, on devient les docteurs Freud des esprit!
GILES : Avant tout, il faut savoir qui est le spectre… qui
il était.
Au lycée, le soir, le concierge lave les planchers et une
prof sort d’une classe.
CONCIERGE : On fini tard Mlle Frank!
MLLE FRANK : C’est ma faute je me laisse un peu déborder.
Est-ce que je peux marcher la dessus George? Au faite,
c’est bien George, n’est-ce pas?
GEORGE : Oh oui, oui! Passer ne craignez rien!
MLLE FRANK : Entendu, j’y vais. Au revoir!
GEORGE : Bonne soirée! Rentrer bien! Oh, Mademoiselle!
MLLE FRANK : Oui?
Il laisse tomber son ballai.
GEORGE (changeant de voix) : Ne crois pas que je vais
disparaître parce que tu dis que c’est fini.
MLLE FRANK : C’est fini, on ne peut pas continuer! C’est
impossible, personne ne comprendra que nous nous aimions.
GEORGE : C’est ce qui compte pour toi? Ce que les autres
vont penser!
MLLE FRANK : Non! Je veux que tu sois capable de vivre comme
les autres une vie normale. Et pour ça, je dois sortir de
ta vie!
GEORGE : Une vie normale mais je m’en fiche! J’ai besoin de
te voir, je souffre trop. J’ai besoin de te voir comme je
respire!
MLLE FRANK : Je le sais mais… (Ils pleurent tous les deux)
mais il faut! C’est terminé!
Elle part et George la rattrape.
GEORGE : Reviens, j’ai encore des choses à te dire. Tu as
cessé de m’aimer, ça y ait.
MLLE FRANK : Ca ne compte pas, ça ne compte pas que je
souffre ou non.
GEORGE : Si tu ne m’aimes plus, dit le moi! (En colère) Je
veux l’entendre!
MLLE FRANK : Ca t’aidera peut-être, c’est ce que tu veux
entendre. C’est d’accord, je ne t’aime plus, je ne t’aime
plus!
Elle part mais George la retient.
GEORGE : Ce n’ai pas vrai, on ne se réveille pas un beau
matin en disant qu’on aime plus l’autre. (Un revolver se
matérialise dans sa main et le pointe sur elle) Aimer c’est
pour la vie!
ACTE 2
Dans le bureau de Giles, il entend la conversation de
George et de Mlle Frank.
GEORGE : Je te jure que je n’ai pas peur de m’en servir! Si
tu m’abandonne… reviens, je t’interdit de me plaquer!
Giles se lève et on entend une voix invisible.
VOIX : J’ai besoin du vous!
GILES : Jenny?
Giles marche, quand il voit le couple.
GEORGE : Arrête, ne fait pas ça, arrête! NE me regarde pas
comme ça, sa me rend fou!
Bang! Il tire sur Mlle Frank. Giles va se cacher. Elle
tombe dans les escaliers en bas de l’école à l’extérieur.
George s’approche et se sauve mais Giles lui saute dessus
et l’arme tombe et disparaît.
GEORGE (semble perdu) : Qu’est-ce qu’on fait là?
GILES : Qu’est-ce qu’on fait là? Vous avez tué une femme!
GEORGE : Hein?
Dans un immeuble abandonné, Angel fait faire le tour a
Drusilla et a Spike de leur nouvelle maison.
ANGEL : Et ceci, tu vois, c’est le jardin.
DRUSILLA : Super! Regarde, tu jasmin!
ANGEL : Il s’épanouit dans la nuit!
DRUSILLA : Comme nous! Ahhh! Angel, c’est une maison de
rêve!! Ouhhh!
SPIKE : C’est le paradis. De grandes fenêtres où la lumière
rentre a flot. C’est parfait si on a envie que le soleil
nous détruise.
ANGEL : Ça ne te plait pas, alors prend la porte et tire
toi! Assume-toi mon vieux!
SPIKE : Moi, notre vieille maison me satisfaisait mais a
cause de toi, elle n’ai plus que cendre.
ANGEL : Il faut changer, Spike. Il faut aller de l’avant.
Tu as plutôt tendance a ne pas bougé, à faire du surplace,
non, j’ai raison!
SPIKE : Tu es si spirituel!
ANGEL : J’en suis ravie. (Angel s’approche de Drusilla avec
du jasmin) J’adore te voir sourire, ça me fait sourire,
rrrrr…
SPIKE : Oui (il s’éloigne) tu est si généreux!
A la bibliothèque, Giles explique au autres ce qu’il a vue.
GILES : C’est exactement le même scénario qu’avec le jeune
couple de l’autre soir. George se souvient de toute la
scène, il sait qu’il a tuer la pauvre femme mais il ne sait
pas pourquoi. D’autant que leur relation n’était pas du
tout intime.
WILLOW : Et l’arme, est-ce qu’on la retrouver?
GILES : Non, non, la police et tout le monde l’a chercher,
sans succès, évidemment. Il est pourtant facile d’expliquer
ce qui se passe.
ALEX : Soyez sympas, mettez moi au parfum! J’ai du manqué
le début du film, je comprends toujours rien!
GILES : C’est Jenny!
BUFFY : Quoi?
ALEX : Vous croyez que c’est son fantôme?
GILES : Mais oui, c’est évident! Elle a été assassiner et
de se faite, elle n’arrive pas a retrouver le repos de
l’âme.
WILLOW : Mais ça colle pas l’histoire, sa mort, Angel a
tuer autrement Jenny, alors…
GILES : Le revolver ne signifie rien, c’est la violence de
l’acte qui est important!
BUFFY : Non, je n’en suis pas convaincu! Ces disputes on
dirait la même scène qui se répète suivant un schéma précis.
WILLOW : Elle a raison, c’est un modèle de scénario qui ne
colle pas avec la mort de Mlle Calendar.
GILES : J’apprécie la justesse de vos remarques et j’ai
l’habitude de vous encourager à me contrer et à me défier
quand c’est le temps opportun. Il ne faut pas avoir peur de
l’autorité! Sauf quand il est lipide que j’ai raison et que
vous avez tort!
Dans la classe d’informatique, Buffy, Willow et Alex y
rentre.
WILLOW : Sa fiche la trouille! Je n’avais jamais vu Giles
se conduire d’une façon aussi bizarre!
ALEX : Oui, d’habitude c’est plutôt le style poser a tout
examiner a la loupe avant de se prononcer. La c’est plutôt
j’ai une idée délirante… mais je la lâche pas.
BUFFY : Jenny lui manque, ça réaction est logique. Encore
une retomber de ma vie amoureuse.
WILLOW : D’accord, mais al solution de l’histoire de
fantôme est ailleurs. Je vais chercher s’il y a eu des
faits similaires à l’école. (Elle cherche à l’ordinateur)
BUFFY : Il faut qu’on puisse comparer plusieurs théories,
quelle sont les plus connue?
ALEX : Le chien est plus fidèle que l’humain.
BUFFY : A part ça?
WILLOW : Oh, je crois qu’on tombe pile : « un étudient a
tirer sur son professeur et la tuer le soir du bal de Sadie
Hawkins». La rumeur disait qu’ils avaient une liaison et
qu’elle avait eu le malheur de rompre. Apres qu’il lait
tuer, il est revenue en pleine fête et il c’est tirer une
balle dans le ventre.
ALEX : Mesdemoiselles, je vous présente le fantôme. C’est
l’un des deux, pas vrai?
WILLOW : Ça collerai, le revolver, la soirée Sadie Hawkins.
BUFFY : Qui a lui ce soir.
ALEX : C’est curieux, on nous a jamais parlé de cette
histoire de meurtre. Ça c’est passer quand?
BUFFY : En 1955.
WILLOW : Tu l'a su comment?
Un peu plus tard, dans la même pièce, Buffy dépose le livre
de 1955 de tout a l’heure.
BUFFY : Bon, j’ai du nouveau et de l’étrange. J’ai rêvé de
cette femme l’autre jour, Grace Newman. D’elle et de ce
garçon.
WILLOW : James Stanley. C’est lui l’assassin.
ALEX : Tu fais les rêves d’une réalité inquiétante, ma
vieille. Tu ne m’aurais pas vue multimilliardaire, par
hasard ou bien tomber raide fou amoureux… sur le plan
physique, s’entend.
BUFFY : Il ne pouvais pas la forcer à l’aimer alors il la
tue. Le salop!
WILLOW : Il a l’air si normal en photo et romantique. Il
c’est donné le beau rôle.
BUFFY : Le beau rôle!
ALEX : Il a tuer quelqu’un et il c’est tué après. C’est à
mon avis la chose la plus débile qu’on puisse faire.
WILLOW : Je sais mais… vous trouver pas ça moche pour eux.
BUFFY : Je trouve ça triste. Mais pour elle. Lui c’est un
meurtrier qui doit payer pour son acte.
WILLOW : Payer de sa vie.
BUFFY : Oh non! Il aurait du passer une soixantaine d’année
au bail, accompagné de d’autres criminel comme lui, ça lui
aurait appris a vivre.
ALEX : Eh oui! La compassion n’ai pas une qualité de notre
Buffy
WILLOW : A qui avons nous a faire, a votre avis, a lui ou a
elle?
BUFFY : Eh ben, vu la violence, je pencherais pour l’esprit
du garçon.
ALEX : Ca cadre!
WILLOW : J’ai un peu feuilleter la doc sur les mœurs
payaines d’écrite par Jenny. Je peux peut-être trouver un
moyen de communiquer avec l’esprit et de savoir ce qu’il
demande.
BUFFY : On s’en fiche de ce qu’il demande! Il faut le
détruire, avant qu’un autre gentil garçon aille tuer une
pauvre fille innocente et ce mette les trippes à l’air
devant toute une salle de bal!
ALEX : Alors, on déjeune?
Dans la cafétéria, Cordélia va s’asseoir avec Buffy, Willow
et Alex.
CORDELIA : Vous n’allez pas à la soirée de Sadie Hawkins ce
soir, j’espère? Je projette de la bonne cotée. Vous vous
rendez compte, les filles douavent invité les garçons. Et
payer et tout le reste! Qui a pus avoir cette idée géniale?
ALEX : Eh a mon avis, une féministe aux jambes poilus.
CORDELIA : Tu crois, il faut écraser le mal à la base. Ça
va être l’horreur si on laisse évoluer les choses dans ce
sens.
Tout a coup, quelqu’un ce met a crier et tout les aliment
se transforme en serpents. Un serpent mord la joue de
Cordélia. Tout le monde se sauve. Les équipe
d’extermination sont la avec la police et les ambulanciers.
CORDELIA (assise dans une ambulance avec Alex) : Super, je
vais avoir une cicatrice et je vais enflé, je préférerait
être morte.
Plus loin, Snyder discute avec un policier.
POLICIER : C’est une mauvaise blague!
SNYDER : Ouais, je vois!
POLICIER : Les égouts on débordé.
SNYDER : Peut-être que je peux m’en sortir avec ça mais ça
devient dure, les gens vont se poser des questions.
POLICIER : A vous de faire en sorte de l’éviter.
SNYDER : J’ai beau me décarcasser, à l’impossible, nul n’ai
venu!
QUELQU'UN : Mais qu’est-ce qui ce passe?
SNYDER : Un problème dans les égouts. Il c’est passé la
même chose à San Diago il y a une quinzaine. (Au policier)
Les vrais causes sont démoniaque, to tao tard les gens vont
finir par s’en rendre compte.
POLICIER : J’ai toujours cru que vous étiez l’homme de la
situation mais si vous pensé le contraire il vaut mieux en
discuter directement avec le maire.
Il part.
SNYDER (a lui même) : Je réussirais, je peux!
Le soir, chez Buffy, dans sa chambre, elle, Alex, Willow et
Cordélia discutent.
WILLOW : Vous vous souvenez de mon intention de rentrer en
contacte avec l’esprit! On laisse tomber, on oublie. Tu as
raison Buffy, c’est plus le moment de la parlote
compatissante. J’ai étudié le problème sous tous les
angles, la seule solution, c’est l’élimination.
ALEX (avec le sourire) : Détruire notre école… ouais
excellente idée!
WILLOW : Non, je vais avoir recours à l’exorcisme.
CORDELIA : Mais tu ai dingue, rappelle-toi, tout le monde
meurt dans ce film, c’est l’horreur.
BUFFY : C’est quoi la tactique?
WILLOW : Tu voix ça, (elle lui monte une feuille) le
balcon, c’est là que le premier professeur est mort en
1955. C’est aussi là que l’autre est mort. C’est donc le
point sensible ou toutes les mauvaises ondes se
rencontrent. Ils font que l’on crée un trépied devant Gus.
CORDELIA : Un quoi?
WILLOW : L’un de nous se tiendra sur le point sensible en
psamodiant. Les trois autres, se placeront autour de ce
point, formant un triangle. Ce système est supposé
paralyser le mauvais esprit, le détruire. Il ne fera plus
de mal a personne.
BUFFY : C’est moi qui irais au point chaud. Il viendra
sûrement la en premier.
Willow approuva de la tête.
ALEX : L’esprit de ce James m’a tout l’air a faire une
fixation sur toi Buffy, l’album, les scènes du passé, c’est
assez risqué.
BUFFY : J’espère le rencontrer, et l’affronter.
Au lycée, Buffy, Willow, Alex et Cordélia y rentrent avec
des lampes torches.
BUFFY : Bon chacun a sa place, on fait les incantations et
on allume la bougie a minuit pile. Des questions?
CORDELIA : Ouais, qu’est-ce qu’il se passe si jamais le
trépied magique se casse la figure?
WILLOW : Oh, j’ai failli oublier, je vous ai fait des
scapulaires (elle leur en tend chacun un).
ALEX : On fera sauter le fantôme comme une crêpe quand il
saura doré a point?
WILLOW : Scapulaire, pas spatule, crétin! Bon, ça se porte
autour du coup pour se protéger.
CORDELIA : Tu crois pas que je vais mettre ça, ça sent les
pieds de mon grand-père.
WILLOW : Désoler, j’ai fait ça a la dernière minute. C’est
du souffre, odorant mais efficace.
BUFFY : Alors, qu’est-ce qu’on attend?
WILLOW : Oui!
CORDELIA : Bon allons y ça va être un jeu d’enfant!
On entend une porte grincer et tout le monde se tourne.
Toutes les portes de l’extérieur se referment sur eux.
ACTE 3
Dans le nouveau repaire, Drusilla creuse de la terre.
DRUSILLA : J’ai bien envie de dormir dans un trou. Je vais
me creuser un joli nid bien douillet.
SPIKE : Tu oublie ta robe, poussin. Tu risques de la salir.
DRUSILLA : Alors, je dormirais nue, c’est ce que font les
animaux.
ANGEL : J’ai comme l’impression que ça va me plaire!
SPIKE : Pas de chance, tout le monde se fiche de ce qu’il
te plait ou pas.
ANGEL : Ah oui! Dit le à Drusilla!
DRUSILLA (elle se roule par terre en riant) : Il y a une
porte, elle est ouverte.
ANGEL : On entre, j’adore quand elle fait ça!
SPIKE : Quelle porte, qu’est-ce que tu vois?
DRUSILLA (elle rie toujours) : C’est si noir (Angel se
rapproche d’elle a quatre pattes) ça vient la chercher!
ANGEL : Chercher qui?
DRUSILLA : La Tueuse! Elle est prête Angel, elle attend que
tu viennes la chercher. Elle danse, (Drusilla danse) elle
danse avec la mort!
SPIKE : Tu parles, il ne bougera pas le petit doigt! Notre
baratineur d’Angel n’ai pas un homme d’action. Tout dans la
tête, rien ailleurs.
ANGEL : Ça reste à prouver! Je trouve que cette histoire de
Tueuse a assez duré. (Il est collé à Drusilla et descend
contre elle) Je préfère concentrer mon énergie ailleurs.
SPIKE : Ailleurs?
ANGEL : Oh oui! Dans ton état, je ne peux pas de laisser
tombe. (Il fait parcourir ses doigts sur le ventre de
Drusilla et elle aime ça) Il ne serait pas très sage que je
m’éloigne de la maison. Vous auriez toujours besoin de mes
bras forts pour pousser ta chaise.
Dans un couloir du lycée, Willow se promène seule. Une
porte s’ouvre et elle cri. Mais ce n’est que Giles.
GILES : Ah, ah seigneur, mais qu’est-ce que tu fait? Tu ne
devrais pas être là!
WILLOW : Mais vous non plus!
GILES : Moi je, j’ai presque réussit… a entrer en contact
avec Jenny… Ah quelle odeur, nauséabonde!
WILLOW : C’est mon scapulaire.
GILES : oh, c’est du souffre!
WILLOW : Oui!
GILES : Ah, très bien… bonne nuit! Va tend, il risque d’y
avoir des phénomènes paranormaux si j’arrive a la
contacter. Je ne veux surtout pas t’exposer. (Il ferme la
porte de la bibliothèque)
WILLOW : Je rentre, bonsoir.
Dans un autre couloir, c’est Cordélia qui marche seule.
Elle se retrouve dans les toilettes face à un miroir. Elle
enlève son pansement de sa joue et on peut voire deux
trous.
Dans un autre couloir, Buffy marche. On entend de la
musique des années cinquante. On voit une affiche, c’est
écrit dessus : Class of 55, Sandie Hawkins Dance. Buffy
s’avance un peu et on voit un couple qui danse, c’est James
et son prof.
Alex, lui, rentre dans la cafétéria. Il y a encore des
serpents.
ALEX : Ah ouais, je vois, pas très serpentaire cette
endroit.
On voit Willow qui monte les escalier où a été tué Jenny.
Buffy les regarde toujours danser. Le visage de James se
transforme en monstre. Cordélia sort de la poudre pour
mettre sur son visage mais la moitié se transforme en peau
de serpent et elle crie.
Willow dépose sa chandelle sur le plancher qui se
liquidifie et une main en écaille la prend par la jambe.
Elle réussie a sacrocher a la rampe.
WILLOW : Giles!!
GILES : Willow!!
WILLOW : Giles, Giles au secours!!
GILES : Mais où es-tu?
WILLOW : Au secours, vite, vite, par ici, aidez moi, à
l’aide!
Giles s’en vient en courrant. Il aide Willow à s’en sortir
en lui tirant les bras et ils tombes dans l’escalier.
Buffy met son scapulaire dans son cou et repaire dans un
rêve.
JAMES : Stop!
MLLE NEWMAN : Arrête James!
Il lui tire dessus.
Buffy se réveille mais on revoit James dans une autre
pièce. Il marche et installe le tourne disque. Il pleure et
on voit qu’il a l’intention de se tirer dessus. On revoit
Buffy et James en monstre la prend et il repart.
Cordélia cri toujours mais elle voit qu’elle n’a plus de
peau de serpent.
Willow et Giles se relèvent.
GILES : Est-ce que ça va?
WILLOW : Giles! Jenny ne serait jamais aussi méchante.
GILES : Oui, tu as raison, c’est quelqu’un d’autre.
WILLOW : C’est bien triste.
C’est la que commencent les douze coups de minuit.
WILLOW : Ah, c’est l’heure.
Elle monte les escaliers pour allumer la chandelle.
GILES : Soit très prudente.
On voit Cordélia qui entend.
Buffy gratte son allumette et allume sa chandelle.
On voit Willow qui a de la misère avec son briquet. Giles
prend le sien et allume la chandelle. A tour de rôle, les
quatre, chacun dans leur pièce vont dire leur partie.
WILLOW : Je vais affronter et je vais détruire le mal.
CORDELIA (en allument sa chandelle) : Je vais totalement
extirper et détruire le mal.
ALEX (il est assit en indien sur une table) : Le chasser de
mon corps, de mes os
BUFFY : Hors de chez nous et de se monde, qu’il ne revienne
jamais.
Il se passe rien jusqu’à ce qu’il y ai un coup de vent qui
souffle la chandelle de Buffy, de Willow, d’Alex et de
Cordélia. Willow et Giles descendent les marches. On voit
des centaines et des centaines de guêpes se diriger vers
eux.
GILES : Oh miséricorde!
Ils partent à courir et ils sont rejoints par Cordélia,
Buffy et Alex.
GILES : Dépêchez-vous!
Comme les portes se sont fermer toutes seules, il étaient
bloquées. Alors Buffy donne un coup de pied.
BUFFY : Reculez!
Tout le monde sort et vont sur le trottoir. Les abeilles
restent autour de l’école.
ALEX : Et ben voila, on n’aura pas de cours demain.
Tous regardent l’école.
Dans le salon chez Buffy, tout le monde est réuni et mange.
GILES : L’aspect positif, c’est que personne n’a été tué.
Nous avons pus déterminer, en vérifiant certaines
hypothèses et grâce aux visions de Buffy, que c’est James
le spectre.
WILLOW : On est tous d’accord mais a quoi ça mène?
GILES : Apparemment il revit sans arrêt la scène du bal
Sadie Hawkins où il a tué la jeune femme. C’est assez banal
mais les esprit on tendance a recréer leur tragédie.
CORDELIA : Dites, si par hasard notre lycée restait fermé,
vous croyez qu’on aura notre examen d’office.
ALEX : Pourquoi, qu’est-ce qu’il veut? Voila, ça c’est le
point important!
GILES : Je crois qu’il essai de comprendre ce qui le retint
et l’empêche de retrouver la paix. J’avoue que, je n’ai
qu’une vague idée de ce que ça peut être…
BUFFY : Il demande le pardon.
GILES : Oui, oui je suppose que c’est ça. Mais lorsque
James possède quelqu’un, celui-ci joue le drame qui a eu
lui trente ans plus tôt et au lieu de se soulager, il vit
une sorte de purgatoire, au contraire. En faite, il est
condamné pour l’éternité à tuer sa bien-aimée, il rejoue et
rejoue sa tragédie éternellement. Il n’obtiendra jamais le
pardon.
BUFFY : T’en mieux! Vous trouvez qu’il le mérite?
GILES : Le pardon est un acte de compassion, Buffy. Ça n’a,
ça n’a aucun rapport avec le mérite. On l’accorde par
charité.
BUFFY : Non, James a détruit la personne qu’il aimait le
plus au monde au moment où il a été aveuglé par sa passion.
C’est un acte impardonnable, et peu importe les raisons de
son geste et peu importe s’il regrette, qu’il aille des
remords, et qu’il se sache égoïste et débile, il a à
assumer, il n’a qu’a vivre avec!
ALEX : A ceci près Buffy, qu’il est mort.
Tout le monde la regarde et elle s’en va.
CORDELIA : Bon alors, ça nous avance pas beaucoup.
Buffy va la cuisine. Elle trouve un papier dans sa poche.
C’est celui qu’elle a vu en regardant le couple danser.
Elle entend une voix.
JAMES : J’ai besoin de vous.
Elle ouvre la porte et s’en va.
Au salon.
WILLOW : Qu’est-ce qu’on fait maintenant? On retourne au
lycée?
GILES : Oh, pas pour l’instant, non, l’esprit est en
colère, il a trop de pouvoir. Il faut avant tout, essayer
de savoir de quelle façon on peut le détruire.
Buffy marche vers la porte de lycée. Les guêpes la laisse
passer. Les portes s’ouvrent par elles même.
ACTE 4
Chez Buffy. Willow va à la cuisine.
WILLOW : Buffy, est-ce que tu… (Elle trouve le papier de la
danse) Oh non, Giles. (il arrive) Elle est retournée là-
bas.
Au lycée, Willow, Cordélia, Giles et Alex sont devant le
lycée.
ALEX : Qu’est-ce qu’on va faire? Même un méga insecticide
serait inefficace.
CORDELIA : Peut-être qu’elle essai de jouer les super woman
solitaire ou quoi, c’est démon ça.
GILES : Non, elle n’y peut rien, elle est sous l’emprise de
l’esprit. Il l’attire vers lui.
CORDELIA : Mais pourquoi?
GILES : James veut lui faire revivre se qui c’est passer le
soir où il a tuer sa bien- aimée et il veut changer les
choses pour que l’histoire se termine bien.
WILLOW : Mais on change pas le passé. Ça finira toujours de
la même manière. Buffy va aller jouer la scène où elle se
fait tuer.
GILES : Ouais, l’école est déserte, il n’y a personne pour
que James joue son propre rôle. Il n’y a personne que
l’esprit puisse posséder.
ALEX : Donc Buffy ne craint rien, temps qu’on essaye pas de
la sortir de l’école.
WILLOW : En théorie, oui.
Buffy marche dans un couloir du lycée, elle est bizarre.
Elle s’arrête et se tourne de coté. Angel apparaît en
arrière d’elle.
ANGEL : C’est curieux, mais je constate que les guêpes… ne
sont pas attirées par les vampires. Non pas que je redoute
une petite piqûre mais enfin, je pourrais enflé et je
voulais que tu me voies sous mon meilleur jour.
BUFFY : Tu es toujours la seule, l’unique personne de qui
je suis si proche
ANGEL : Là, tu me flatte, tu es très a plaindre!
BUFFY (elle prend la place de James) : Tu ne me feras pas
disparaître juste parce que tu décides que c’est fini.
ANGEL (il garde son identité) : Justement, je crois que si.
En fait… (Il prend la place de Mlle Newman) Ce que je veux
c’est que tu m’oublie et que tu puisses mené une vie
normale. Tu dois m’effacer de ton coeur, tu comprends?
BUFFY (elle pleure) : Avoir une vie normal, mais je m’en
fiche complètement. J’ai besoin de te voir sinon je deviens
fou. Je ne fais que penser a toi chaque minute.
Angel met sa main sur son visage. On voit James et Mlle
Newman.
MLLE NEWMAN : Je sais… mais c’est fini. C’est s’en espoir…
Elle s’en va. Il cour la rattraper. Maintenant Buffy et
Angel.
BUFFY : Non reviens, on a pas fini. Alors ton amour c’était
du chiqué.
ANGEL : Ça na pas d’importance ma souffrance.
BUFFY : Dit le, dit moi que tu ne m’aime pas.
Retour sur James et Mlle Newman.
JAMES : Dit le.
MLLE NEWMAN : C’est ce que tu veut entendre, ça t’aiderai.
D’accord je ne t’aime plus.
Maintenant Buffy et Angel
ANGEL : C’est comme ça. C’est terminé!
BUFFY : Non, non je ne peux pas croire qu’on se réveille un
jour et comme par enchantement on cesse d’aimer.
James sort le revolver, Buffy fait de même.
BUFFY : Aimer c’est pour la vie. Je m’en servirai, je te
jure que je m’en servir. Si tu m’abandonnes…
ANGEL : C’est pas vrai!
Il commence à partir, Mlle Newman aussi.
JAMES : Non, je t’interdit de me…
BUFFY : Plaqué!
Il court, Mlle Newman aussi.
BUFFY : Arrête! (Il s’arrête sur le balcon où Mlle Newman
c’est fait tuer pour la première fois) Stop ne m’oblige
pas…
ANGEL : D’accord, je m’arrête. (il se retourne, Mlle Newman
aussi)
MLLE NEWMAN : Tu es fou, tu le regrettera. Je t’en supplie,
essai de te calmer, donne moi cette arme.
JAMES : Ça suffie, tu a tort de me parler comme ça, arrête!
BUFFY : Et arrête de me traiter comme un pauvre débile.
Le coup de feu part, Angel est atteint dans le ventre.
Giles et Willow se lève la tête.
ANGEL : James!
Mlle Newman tombe par-dessus le balcon. James s’en retourne
et Buffy aussi. Elle ouvre une porte. On voit Angel part
terre, la main pleine de sang. Il ouvre c’est yeux et ce
lève. Buffy est dans la salle de musique. Elle met de la
musique (des années cinquante) et elle pleure. On voit dans
le miroir le reflet de James. Elle monte son arme mais
Angel met la main dessus. Elle se retourne.
BUFFY : Grace.
ANGEL : Ne fait pas ça.
BUFFY : Je le mérite, je t’ai tué.
ANGEL : C’était un accident, ce n’est pas ta faute.
BUFFY : Si, comment j’ai pus faire une chose pareille!
ANGEL (il lui met deux doigts sur la bouche) : Chut, c’est
a moi de m’en vouloir, James. Tu a cru que je ne t’aimais
plus, mais c’était faut, je t’aimais passionnément. Chut…
Sèche tes larmes.
Il lui met la main dans le cou et ils vont s’embrasser.
Mais on fait un retour en 1955. Grace Newman se rapproche
de James et ils s’embrassent passionnément. Buffy et Angel
s’embrassent aussi. Une lumière les enveloppe et une sorte
d’énergie se met en boule au-dessus d’eux. La lumière
s’éteint et ils arrêtent de s’embrasser.
BUFFY : Angel!
Angel la repousse et part en courant.
Dans la bibliothèque, Giles fait les cents pas. Cordélia,
Alex et Willow entrent.
WILLOW : Tout a l’air normal, pas une guêpe, pas de
serpents en vue.
CORDELIA : Ouais, le lycée peut ouvrir ses portes.
Ils s’accotent au comptoir.
ALEX : Explique-moi ce qu’on a gagné dans l’histoire.
CORDELIA : je ne trouve pas de réponse.
Giles va voir Buffy dans son bureau.
GILES : Ça va, tu te sent mieux?
BUFFY (elle est assise et elle a l’air triste) : James m’a
choisie parce que… j’était la seule personne de qui il se
sentait proche. Il sentait ma détresse.
GILES (il s’assoit) : Maintenant, ils sont en paix tous les
deux.
BUFFY : C’est drôle, ça me surprend encore qu’elle est pus
lui pardonner. J’ai du mal a comprendre.
GILES : C’est important?
BUFFY : Non.
Giles lui sourit.
BUFFY : Je suppose que non.
Dans le repaire d’Angel, il parle avec les deux autres et
il se lave en même temps.
SPIKE : Tu a besoin faire une pause. Quand on a perdu du
sang, il parait qu’on est… vidé!
ANGEL : Qu’est-ce que tu est sait? C’est moi qui a été
pratiquement violé, souillé par cette chose.
DRUSILLA : C’était quoi, un démon?
ANGEL (il se rhabille) : L’amour!
DRUSILLA : Pauvre Angel!
ANGEL : On va faire un tour, j’ai besoin d’un crime bien
abject pour extraire cette chose immonde de mon organisme!
DRUSILLA : Gr! On va te trouver un nourrisson gentil à
croquer! (A Spike)Tu nous accompagnes?
ANGEL : Non, c’est pas possible, il ferait des ravages sur
son deux roues et le jour va bientôt se lever. (Il
s’approche de Spike) Il faut éviter le soleil, je regrette,
essai de t’amuser sans moi.
Il part avec Drusilla. Spike fait un sourire.
SPIKE : Oh, je vais rire!
Il se lève debout et donne un coup de pied a sa chaise
roulante.
SPIKE : Et plus vite que tu crois!